les cuisiniers-restaurateurs

En astrologie, que faut-il pour être cuisinier-restaurateur ?

L’étude de 51 thèmes astraux de cuisiniers célèbres permet d’esquisser, par signes et planètes, le profil du caractère qui incite à exercer ce métier, (source : données de naissance Didier Geslain et FDAF) :

Le Chef de l’Hôtel Chatham (Paris) par William Orpen, 1921

La Vierge influence, de façon directe ou indirecte, près de 3/5e des thèmes (57%), pour ce métier de service aux autres. Organisée, minutieuse, prévoyante, elle s’active devant ses fourneaux. Puis, en fin de repas, en servante dévouée et modeste, elle vient recueillir l’avis de ses convives, pour savoir « Comment ça s’est passé ? ».

Les Gémeaux concernent près d’un thème sur deux (47%). Ce signe apporte le sens gustatif, pour humer l’arôme des mets, un peu comme le « nez » dans la parfumerie. Vif, habile et adaptable, il sait être « au four et au moulin » et faire bien plusieurs choses à la fois, au moment du « coup de feu » en cuisine.

La Balance, courtoise et diplomate, confère au cuisinier une âme d’artiste en quête d’harmonie pour séduire le client par des mets à l’esthétique travaillée.

Le Bélier est ardent à conquérir son public à chaque repas. Avec audace et enthousiasme, il sait guerroyer comme personne autour de ses fourneaux. La tête pleine d’idées, il s’impatiente à les mettre en œuvre sans jamais s’attarder sur la gloriole d’une réussite.

Le Scorpion fait du cuisinier un magicien ingénieux aux plats irrésistibles. Et quand le client le questionne, il fait croire que c’est simple mais garde pour lui sa recette né de son don d’alchimiste.

Côté influence planétaire on rencontre par importance :
Neptune (42 % des cas) Elle permet au cuisinier l’intuition subtile des mélanges pour recréer du merveilleux par des plats fabuleux.
Mercure qui influence par la Vierge, 3 cuisiniers sur 5, signe l’habileté manuelle, le savoir-faire artisanal, l’esprit pratique et lucide ainsi que le sens du commerce.

Voir La Mère Brazier

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